- L’étude commencera bientôt
Contexte
La pandémie provoquée par le coronavirus SARS-CoV-2 (COVID-19) chamboule les habitudes de tout un chacun et les personnes qui consomment des substances psychoactives par injection ne font pas exception. Les surdoses mortelles ont augmenté pendant la pandémie dans diverses régions, y compris le Canada.
La présente étude se servira des données préexistantes provenant des SCS et d’autres sources provinciales pour réduire les méfaits immédiats associés à l’utilisation de drogues par injection. Par exemple, les méfaits liés aux surdoses, à la transmission de maladies et aux infections bactériennes seront réduits en fournissant des services, notamment des soins médicaux d’urgence, des fournitures de réduction des méfaits et d’autres soutiens adaptés aux besoins des consommateurs de drogues injectables.
Objectifs
Cette étude vise à :
- Examiner les changements survenus depuis la pandémie de la COVID-19 au sein des services de consommation supervisée, tant au niveau de leur fonctionnement qu’au niveau des personnes qui utilisent ces services.
- Modéliser l’impact de ces changements sur les taux de surdose futurs dans la population, et à projeter la possibilité de les éviter en améliorant la rétention et l’engagement au sein des SCS à l’avenir.
Chercheuse principale
- Sarah Larney Ph. D. (Université de Montréal, CRCHUM)
Co-chercheurs et collaborateurs
- Julie Bruneau, M.D., M. Sc. (Université de Montréal, CRCHUM)
- Natasha Martin, Ph. D. (University of California, San Diego)
- Elaine Hyshka, Ph. D. (Université de l’Alberta)
- Pascale Leclerc, M. Sc. (Université de Montréal)
- Thomas Brothers, Ph. D. (Université Dalhousie)
- Jean-François Mary, M. Sc. (CACTUS Montréal)
- Carole Morissette, M.D. (Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal)
Coordinatrice
- Ruby Sniderman, M.P.H (CRCHUM)
Financement
